Les hauteurs proposées sont : 15, 20, 25, 30, 35, 40, 45, 50 cm. L’épaisseur est de 4 cm.
Ces caractères inspirés de la police SQUARE sont idéaux pour afficher un message fort, puissant et graphique sur un mur, une scène, un hall, dans un magasin. Le polystyrène blanc utilisé est de bonne densité avec de petites perles ce qui permet d’obtenir une excellente finition.
Le poids de ces lettres est aussi un argument car elles sont manipulables et fixables très facilement. Elle peuvent même est simplement posées sur la tranche pour être exposées.
Elles peuvent être également habillée par collage de papier ou piquée de fleurs, de bonbons,… de quoi laissez libre cours à son imagination.
A est la première lettre des alphabets latins et étrusques, ainsi que leur première voyelle. Il s’agit également de la majuscule de la lettre g de l’alphabet grec ainsi que du A de l’alphabet cyrilliques.La lettre A tire probablement son origine de l’alphabet linéaire proto sinaïtique, un alphabet utilisé dans le Sinaï il y a plus de 3 500 ans, lui-même dérivé des hyéroglyphes égyptien.
Mais qui fait la police (de caractère)?
Times, Helvetica, Arial… Derrière ces noms devenus presque communs grâce aux logiciels de traitement de texte se cachent des designers graphiques. Et une industrie typo toujours plus créative. Dessinateur de caractères. Une profession qui suscite forcément la curiosité. Même si l’imprimerie est entrée dans l’ère numérique depuis les années 1980, le métier de créateur de caractères n’a pas disparu, au contraire.
Côté grand public, la connaissance des polices de caractère s’est elle aussi démocratisée depuis la pratique massive de l’ordinateur, et donc des logiciels de texte. Tout le monde (ou presque) a déjà utilisé Helvetica ou Arial dans Word. Les polices de caractères ont souvent une histoire étonnante, dans laquelle s’entremêlent enjeux graphiques, économiques et sociopolitiques.
La typographie (souvent abrégée en « typo ») désigne les différents procédés de composition et d’impression utilisant des caractères et des formes en relief, ainsi que l’art d’utiliser les différents types de caractères dans un but esthétique et pratique.
En second lieu, la typographie est l’art et la manière de concevoir et de se servir des caractères : choix de la police, choix de la fonte et de la mise en page, indépendamment de la technique de publication (impression, affichage sur écran, etc.). Actuellement, la typographie en tant que technique est devenue marginale, tandis qu’en tant que pratique, appliquée par chaque utilisateur d’ordinateur, elle est devenue universelle. Le passage d’un métier (voire d’un art) très complexe à un usage généralisé, et d’autant plus complexe qu’un nombre sans cesse croissant de nouvelles polices apparaît chaque jour, n’est pas sans poser de nombreux débats et problèmes.
«La subtilité de la typographie tient dans l’équilibre entre rigueur et sensibilité. Un caractère trop strict sera pauvre, asséché et sabotera son expressivité. A l’inverse, s’il est trop sensible, il finira par lasser et toute cette expressivité se fera au détriment de sa fonctionnalité.» Conclusion, réaliser de bons caractères typographiques implique de créer quelque chose d’utile avec quelque chose de spécifique sans jamais sacrifier l’un ou l’autre.
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