Ce sont des mots, textes, expressions découpés dans du pvc rigide. Ces éléments sont des objets déplaçables et réutilisables contrairement aux stickers auto-collants. Dessinés pour décorer les murs à la manière de graffitis esthétiques, il évoquent des lieux, des phrases ou des rappels à la manière d’un message, d’un souvenir ou juste de manière ludique.
Fabrication française.
Comment le fameux «Yes We Can» d’Obama est né
Un ancien conseiller du président américain raconte dans le New York Times Magazine que celui-ci n’aurait jamais prononcé ces trois mots sans l’intervention de sa femme Michelle.
Barack Obama trouvait initialement le message «un peu niais». Heureusement pour lui, il a suivi l’avis de sa femme Michelle. Dans une interview parue dans le New York Times Magazine, un des anciens conseillers du président américain raconte comment est né le slogan qui va marquer la campagne victorieuse de Barack Obama en novembre 2008. Il sort aux États-Unis un livre où il retrace son parcours dans l’ombre des politiques.
La scène se déroule en 2004. À l’époque, Barack Obama brigue le poste de sénateur pour l’Illinois. Le futur président enregistre une série de clips de campagne comme il est de coutume aux États-Unis. «Michelle venait d’arriver pour le premier enregistrement de la publicité, relate de conseiller politique. C’était celle qui finissait par la phrase «Yes We Can». Il a lu tout le script et après la première prise, il a dit, «Oulala, ce n’est pas un peu niais?». Je lui ai expliqué que je trouvais que c’était un super slogan, et il a regardé Michelle et lui a demandé: «Qu’est-ce que tu en penses?». Elle a secoué la tête lentement et elle a dit: «pas niais».»
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.